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amour, gloire & beauté

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amour, gloire & beauté
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9 décembre 2007

cheval - sexy sushi

cheval, cheval, tu cours comme un fous. tu cherches à nous servir, envers et contre tout. ta crinière de feu, ébloui nos combats. cheval si courageux, je te nomme roi. cavale contre l'ennemi, sans défense, sans armure. tes sabots, ton allure, tout chez toi est pur. ta fougue résonne dorénavant comme la vie. cheval, cours, saute galope, hennit ! des millions de chevaux, ensevelis, les tripes à l'air, les yeux arrachés. des miilions de chevaux, ensevelis, pendant les guerres, les yeux arrachés. merci,cheval; merci de te faire tuer, en notre nom. tu es le plus beau; je t'aime. tu es le plus beau, je t'aime. des chevaux par milliers, dans les ravins, dans les fossés. des chevaux par milliers, dans les ravins, dans les charniers. des chevaux par milliers, qui galopent, et s'font shouter. des chevaux par milliers, qui ramènent leurs cavaliers. des chevaux par milliers, dans les ravins, dans les fossés. des chevaux par milliers, dans les ravins, dans les charniers. des chevaux par milliers, qui galopent, et s'font shouter. des chevaux par milliers, qui ramènent leurs cavaliers. des chevaux par milliers, dans les ravins, dans les fossés. des chevaux par milliers, dans les ravins, dans les charniers. tu es le plus beau. je t'aime. cheval, cheval, tire les charettes, remplies de nos morts, et écroule-toi comme un brave. cheval, mon ami, tu vaux mieux qu'un dauphin. que ton règne soit fait sur la terre comme au ciel; je te bénis entre tous les chevaux. des chevaux par milliers, (je t'aime) qui ramènent leurs cavaliers. des chevaux par milliers, (je t'aime) dans les ravins, dans les fossés. des chevaux par milliers, dans les ravins, dans les charniers. des chevaux par milliers, qui galopent, et s'font shouter. des chevaux par milliers, qui ramènent leurs cavaliers. des chevaux par milliers, dans les ravins, dans les fossés. des chevaux par milliers, dans les ravins, dans les charniers. des chevaux par milliers, qui galopent, et s'font shouter. des chevaux par milliers, qui ramènent leurs cavaliers. des chevaux par milliers, dans les ravins, dans les fossés. des chevaux par milliers, dans les ravins, dans les charniers. des chevaux par milliers, qui galopent, et s'font shouter. des chevaux par milliers, qui ramènent leurs cavaliers. des chevaux par milliers, dans les ravins, dans les fossés. ta fouge résonne dorénavant comme la vie. cheval cours, saute, galope, hennit ! je t'aime. je t'aime. je t'aime.

PONEY

j'ai retrouvé des vieille chansons de quand j'étais jeune. de l'année dernière quoi ! je redécouvre AqME, Deathstars, Samael, SOAD... je reviens au rock ou quoi. maman, j'ai peur.

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9 décembre 2007

j'ai besoins de changements.

noël c'est dans 16 jours.

j'en avais marre de voir mireille mathieu, mon fond jaune, et tout ce qui va avec. j'en avais marre que ca ne change pas. alors ca fait deux semaines que j'essaye toutes les couleurs, que j'essaye toutes les bannières, que je cherche un truc cool à mettre, mais j'trouve pas. tant pis, je pense que je me contenterais de la pauvre bannière "bikini (bottom)" et du pauvre fond rose saumon. peut être qu'un jour je trouverais. et puis si y'a un gentil qui trouve des images cool ou qui a du temps à perdre, j'lui laisserai même faire ma bannière !

je m'ennuie. je meurt d'ennui. j'ai bien envie de faire une petite playlist.

pour déprimer., il faut s'écouter ca. quand j'aurais le temps (ouais c'est long sa mère de faire tout ca) ben je mettrais les chanson pour bouger son boule.

















miss france 2008 c'était ma préférée. elle est cool.

miss_france

1 décembre 2007

j'ai des limites aux bornes !

j’ai vraiment envie de m’énerver… ca fait trois mois que je prends sur moi, que je me retiens de la caillasser.

je suis plutôt, comme le dit ma sœur, mère thérésa bis. je suis bien du genre ‘j’aime les gens’ ou ‘tiens, elle est toute seule, on y va ?’… bon, c’était surtout quand j’étais à villié, parce que les gens là-bas étaient des hyènes. à anse, j’ai trouvé des gens bien, des gens intéressant ; mais si j’ai perdu de mon côté je n’en suis pas moins restée une gentille fille qui était la première à proposé d’aller voir M. tapis-volant ou un habitant de la comté(e)… bref, tout ca pour dire que je suis très tolérante et que je n’envoie pas paître les gens facilement. pas tout de suite du moins.

elle m’a fait plutôt pitié au début. oui, c’était ca je pense : de la pitié. de la compréhension aussi. elle était une vraie caricature : plus petite que moi (c’est dire !), sapée comme une petite fille de primaire (vous savez, quand on ne sait pas assortir les couleurs et les fringues… quand on commence à s’habiller seul(e) quoi !). elle était toute seule. elle ne connaissait personne, moi non plus. quand elle est venue me voir, je crois, j’ai été confirmée dans mon idée. d’emblée, elle m’a raconté sa vie, de pourquoi elle était là, qu’elle avait sauté une classe, mais qu’elle aurait dû en sauter deux, et blablabla. combien de fois l’ai-je entendu répéter ca, qu’elle était plus jeune que nous…

je me suis vite rendue compte qu’elle était en tous points mon opposée. elle studieuse, notant tout, tout ce que les profs disaient. (un jour, la prof nous parlait des contrôles sur les romans-nouvelles-textes, et max a demandés si on avait le droit au profil. la prof a parlé de profil et nous en a montré un qu’elle avait sur soi sur le conte philosophique voltairien, ce qui n’avait aucun rapport sur le cour, mais juste parce qu’elle l’avait. ben devinez quoi : elle l’a noté !). moi je n’ai jamais travaillé, je suis très ‘je laisse aller les choses et on verra bien’. je compte sur moi et mes capacités. elle, c’est une fille ordonnée, sage, trop sage. moi je la choque quand je sors un ‘putain !’ ‘merde !’ ou autre joli mot. elle, elle dit ‘c’est classe !’ ‘sapristi’ ‘zut’ ou miséricorde. elle a été, je crois, choquée par le film 99francs. elle est profondément moralisatrice. en cours, dès qu’un rire parcours la classe, elle rouspète en disant ‘qu’est ce qu’il y a de drôle’ et grogne. quand ca se chahute à côté, elle gueule. elle juge les gens parce qu’ils posent des questions dans un jeu, or ce jeu est fait pour poser des questions indiscrètes. elle est fière, sans modestie. elle montre ses notes, sautille de joie pendant une heure, dit qu’elle a eu les cinq points à la question, qu’elle a répondu juste, ou ci ou ca. elle pleure quand elle a quinze, parce que, je cite, ‘c’est la fin des haricots’. elle ne veut pas se mélanger. quoi qu’on projette de faire, elle refuse. on ne va pas tous aux vécés, on ne va pas au mcdo, on ne fait pas ci, ni ca. elle fuit constemment. en plus, elle mange lentement.

et puis ces profs qui l’encensent, comme si c’était une demi-déesse. ‘biiip est une exception’ ‘photocopiez sa copie’ (dans ses rêves, ouais ! elle en pisserait de joie !) … et nous on a le droit, et je cite exactement (j’ai trop buggé dessus, alors j’ai retenu !) à : ‘vous êtes trop nuls’ et à ‘c’est votre manque de culture historique et sociologique qui fait que vous ne comprenez rien’. et je passe tout les ‘c’est une honte que vous ne sachiez pas ou n’ayez pas lu…’. c’est agacant de la voir se pavaner, être mise en avant. moi je la trouve nulle. je trouve ca con de tout écrire, de me prendre de haut, et pour un bouche trou (c’est réciproque). je ne la supporte plus.

please, help me !

or  sujet, mais aujourd'hui j'ai eu un tilt et j'me suis rappellée de sophie ellis bextor. elle est belle. elle chante bien. elle est cool. et j'ai ouvert mon calendrier dora. love.

seb

1 décembre 2007

pleurer ca seche les yeux

24 novembre 2007

adieu.

j'en ai marre de tout. je suis constemment en mode blasé, ou en mode autiste. (je m'escuse auprès de tous les autistes, d'ailleurs). je me sens bizarre. quand ma vie est plutôt grise (je n'm'étalerais pas sur les détails, mais je peux vous assurez que j'en ai, des raisons, de la trouver grise) tout va bien. enfin, tout va bien... je ne suis pas joyeuse, je ne bondis pas à droite et à gauche comme bunny, mais je me sens heureuse. ou presque. j'ai l'impression d'être intouchable. rien ne me fais vraiment plaisir. rien ne me rends triste (à part une chose, une seule, mais parce que je l'aime tellement que rester stoïque face à elle est impossible). je suis indifférente à tout. j'aime bien les gens. ils ne me dérangent plus, il me distraient un moment, mais je m'en balance profondément. avec eux, sans eux, rien ne change. je fais tout machinalement, avec une sorte de mécanique, je le fais pour le faire. c'est plutôt bien, je me sens toujours envahie d'un sentiment de bien être mais sans plus.
je sais ce que je veux pour noël. un sourire sincère de mon ange; un brin de conscience et de mon bien-être pour l'arbre; de la chance et de la patience pour le poteau; de la joie pour les autres. c'est tout. pas plus.
j'attends noël avec impatience. aller en alsace, voir ma famille, à laquelle je pense souvent. j'aime profondément ma famille... c'est vrai que j'ai une chance inouie d'en avoir une comme ca ! et puis noël c'est les repas interminables, les vacances, les couettes gigantesques, la neige, les cadeaux, les gateaux de noël préparés avec amour, les attentions de mamie... j'aime tellement cette période de l'année. et puis surtout qu'après y'a le jour de l'an. noël approche, plus qu'un mois. à la télé y'a plein de pub genre barbie, mandala designer (hihi), action man et transformers, et caetera... c'est tellement beau... et dire que j'ai cru au père noël ! d'ailleurs je devrai lui écrire cette année, pour recevoir le cadeau. une toise de 1m20 ou une boite à secret ? mystère...
la vie est belle. même si elle est dégueulasse par moment. j'ai profondément une positive attitude. plus forte que grand mère feuillage, plus forte que la peur du noir, plus forte que les bruits du parquet la nuit, plus forte que les larmes.

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19 novembre 2007

flairant bon le pain qui pousse [zola]

top five des insultes germinal

number five : houilleurs flegmatiques
number fow : galvaudeux
number sweee : bougre de mufle
number twou : couleuvre
number ouane : JEAN-FOUTRE !

adepte des mini post, bonsoir. j'aimerais bien avoir de l'inspiration, de l'intelligence, et la classe de irving quand j'écris. c'est beau de rêver.

Minitokyo

8 novembre 2007

je hais la nouvelle scène francaise. a part dionysos <3

majorettes

Extraversion 76% Stability 36% Orderliness 20% Accommodation 30% Interdependence 43% Intellectual 63% Mystical 43% Artistic 23% Religious 10% Hedonism 56% Materialism 63% Narcissism 50% Adventurousness 63% Work ethic 50% Self absorbed 63% Conflict seeking 63% Need to dominate 90% Romantic  56% Avoidant 56% Anti-authority 76% Wealth 50% Dependency 50% Change averse 63% Cautiousness 43% Individuality 56% Sexuality 56% Peter pan complex 70% Physical security 63% Physical fitness 50% Histrionic 70% Paranoia 63% Vanity 56% Hypersensitivity 70% Indie 51%

6 novembre 2007

peace love and understanding ?


c'est mon avant dernier jour de vacances et c'est horrible. j'avais pris l'habitude de me lever tôt. j'ai repris celle de me lever tard, et ca va encore tout me déboussoler pendant deux semaine, en plus avec le décalage horaire... fini les journées affalée sur mon lit avec Pendragon de Lawhead, ma DS et ma couette douillette. fini mes soirées ordi, mes soirées télés, les golden gahams le soir devant Kaamelot, fini la PS2 avec Léo, fini le traînage en pyjama... le pire c'est que je me rends compte que j'ai rien fait ! j'n'ai pas lu Salut et Liberté! ni même acheté. Germinal traîne sûrement sous mon lit, mon bureau ou un truc du genre... adieu vacances, j'aurais bien profité de toi... j'aurais vu Grue, et Sandra; j'aurais fait la molle chez mes cousines; j'aurais zoné dans les rues paumées de Maubec le soir d'Halloween; j'aurais regardé plein d'anime et de films... ahlala, je suis une bien vilaine fille de me plaindre de ma vie de princesse... Margot, Reine de France et de Navarre...

Sans_titre

27 octobre 2007

j'ai vu

j'ai vu les gens. j'ai vu leur bassesse. j'ai vu à quel point ils étaient ridicules. j'ai vu à quel point ils sont faibles. je les voit et j'ai peur. j'ai peur d'être une de ces filles, superficielles, qui se ressemblent toutes; ces filles qui crient dans les rues, dans les couloirs pour qu'on les voie, qui ont l'air de péripathéticiennes ou quelque chose du genre. j'ai peur de devenir comme les autres. et je me dis que tout le monde se sent différent; mais si pour moi tous ces gens qui se sentent différents sont pareil, moi qui me trouve différente, me voit-on pareil qu'eux ? le suis-je ? mais au fond, est-ce si grave... être différent ou pas, ca n'change pas grand chose, du moment qu'on est soi... encore qui suis-je pour dire que je suis quelqu'un ? je n'ai rien fait de bien, rien dont je suis extrêment fière, rien de remarquable. je n'ai aucune qualité exceptionnelle, je ne suis pas bonne, vertueuse, généreuse, altruiste... en fait c'est juste le reflet de mon parfait égoïsme. de notre égoïsme, car j'ai la prétention de faire de mon cas une généralité vu que je suis les gens et que les gens sont moi. nous sommes égoistes. je sais que je ne suis pas le centre du monde, que je suis insignifiante pour la quasi totalitié du monde, qu'il ne changera pas à cause ou pour moi. mais rien ne peut empêcher les gens de le penser, moi compris. c'est triste... mais à part ca, je suis heureuse. j'aime les gens, j'aime les animaux, les fleurs, les pierres. j'aime chaque être vivant, aussi mauvais soit-il, j'aime chaque caillou sur lequel j'ai marché, chaque tuile du toit de ma maison, chaque fleur que j'ai croisé. quoi qu'il puisse m'arriver aujourd'hui, rien ne m'enlèvera ma bonne humeur et ma joie. encore, je n'sait pas si c'est de la joie. je suis heureuse, pas joyeuse. c'est vraiment bizarre. je me sens bien. je me sens sereine, calme pour une fois. je travaille comme jamais, je ne crie plus sur mes frères, je ne crie plus tout court; c'est comme si tout s'atténuait: le bien comme le mal. si encore ca pouvait durer... pour une fois, la margot excessive, qui voit tout soit noir soit blanc, voit gris. j'aimerais rester comme ca pour toujours. j'étais une mouche. je vole, je vole en faisant un bruit insupportable et continu, sans aucune interruption. je tape les vitres quand il n'y a personne pour tourner autour jusqu'à lui faire perdre la raison. je suis un escargot. calme, je vais doucement, je traine, je suis patiente. je suis comme une sorte de meuble des fois... j'aime ca. j'adore aussi mentir. j'adore les gens. j'adore les gens de ma classe

.

jef

24 octobre 2007

direct soir, c'est le soir.

la rose et le réséda

Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Tous deux adoraient la belle
Prisonnière des soldats
Lequel montait à l'échelle
Et lequel guettait en bas
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Qu'importe comment s'appelle
Cette clarté sur leur pas
Que l'un fut de la chapelle
Et l'autre s'y dérobât
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Tous les deux étaient fidèles
Des lèvres du coeur des bras
Et tous les deux disaient qu'elle
Vive et qui vivra verra
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Quand les blés sont sous la grêle
Fou qui fait le délicat
Fou qui songe à ses querelles
Au coeur du commun combat
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Du haut de la citadelle
La sentinelle tira
Par deux fois et l'un chancelle
L'autre tombe qui mourra
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Ils sont en prison Lequel
A le plus triste grabat
Lequel plus que l'autre gèle
Lequel préfère les rats
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Un rebelle est un rebelle
Deux sanglots font un seul glas
Et quand vient l'aube cruelle
Passent de vie à trépas
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Répétant le nom de celle
Qu'aucun des deux ne trompa
Et leur sang rouge ruisselle
Même couleur même éclat
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Il coule il coule il se mêle
À la terre qu'il aima
Pour qu'à la saison nouvelle
Mûrisse un raisin muscat
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
L'un court et l'autre a des ailes
De Bretagne ou du Jura
Et framboise ou mirabelle
Le grillon rechantera
Dites flûte ou violoncelle
Le double amour qui brûla
L'alouette et l'hirondelle
La rose et le réséda

aragon.

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